Est-ce l’effet combiné du manque d’oxygène et de la rareté des produits vitaminés qui altère à ce point notre imagination?? Quand la poudre est si légère qu’elle s’insère jusqu’au plus profond de nos synapses, notre cerveau est sous contrôle! Pas d’autre choix que d’aller batifoler dans la blanche…
Une petite collective fort joyeuse s’organise fortuitement aujourd’hui pour aller trainer une douzaine de spatules du côté des crêtes de la Seyte, sans prétention aucune. L’occasion de taper le bout de gras pendant la montée, enfin dans la limite des capacités pulmonaires…
Si certains expérimentent à quelques encablures de là les joies du traçage à la montée comme à la descente, nous nous contentons benoitement du simple plaisir du traçage à la descente.
Notre religion nous interdisant de s’arrêter dans la descente, la production photographique s’en est légèrement ressentie!!
Par les temps qui courrent il est quand même franchement conseillé de rester sagement dans des pentes inférieures à 30°…. ce qui laisse largement de quoi s’amuser!